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Eclairage des parties communes : escaliers intérieurs de la copropriété. Travaux refusés par Assemblée Générale 27 oct 2020, ainsi décrits dans le devis de l’électricien :  » La mise aux normes de l’installation électrique : installation vétuste hors normes et dangereuse avec fils tissus dans moulure bois ». L’éclairage des escaliers et la minuterie ont été occultés par l’installation récente d’un ascenseur dans la cage d’escaliers. L’utilisation des escaliers devient dangereuse alors que son usage doit être en sécurité à toute heure de la journée.

J’ai réalisé une visite périodique dans un hôtel du 1er groupe. L’alarme de type 1 a été remplacée par un SSI de catégorie A en 2013. Cependant, le dossier d’identité du SSI n’a jamais été réalisé, information relevée par l’organisme agréé lors du RVRE triennale.
Comment imposer à l’exploitant de créer un dossier d’identité ? Est-ce réalisable ou un dossier technique réalisé par un coordinateur SSI peut suffire afin de lever cette observation ?

Dans un IGH (classé W1), nous avons un conditionnement d’air dans les machineries ascenseurs.
Le conditionnement d’air étant une installation de sécurité, doit-il être raccordé sur 2 tableaux généraux de sécurité et cheminer sous CTP 2H00 (art GH44) ou peut-il être raccordé sur le tableau DTU de la machinerie ascenseurs considérant que les alimentations du tableau DTU répond à l’article GH44.

Le règlement CPR qui entre en vigueur le 1er juillet 2017 est une exigence « produits de construction » qui concerne normalement les fabricants. Au niveau installation électrique ce sont les fabricants de câbles et conducteurs qui sont concernés. Y a-t-il un autre texte officiel qui spécifie la classification et les caractéristiques de câbles ou conducteurs à installer pour chaque type d’établissement ERP ou IGH ou autres ?

Une association a construit un établissement recevant du public à côté de chez moi, les travaux sont terminés depuis x temps. Après x permis de construire refusés, le dernier permis a été accordé malgré un avis défavorable de la commission de sécurité /SCDS à la demande d’atténuation (diminution de l’effectif) pour aboutir à un effectif de 218 personnes à la place de 350 personnes déclarées dans le dossier du permis. Sous prétexte que l’avis défavorable de la commission de sécurité n’est qu’un avis, le maire peut-il passer outre ?